ZOO NŒUDS 21

21 nœuds, vitesse estimée de lecture du poème Zone de Guillaume Apollinaire écrit en 1913 et réadapté à la prose absurde et triviale du XXI° siècle.

À déclamer en lançant des regards de fou, tout en tour-noyant aux sons déchirés d’une valse manuelle à 3 temps, debout sur le pont avant de l’Arche des migrants que nous sommes, lancée en plein déluge… 

***********

Allah faim tu hélas de ce mont danse si un

Berge erre eau tour et fêle le trou peau des ponts bel ce mat teint

Tuant n’as as sait de vie ivre dans lent tic qui t’es gré qu’héros mènent

Ici m’aime laids haut homme aube île long l’ère d’hêtre en scie haine
L’art relit gît ion erre est-ce thé toute neveu l’art relit gît ion
Erre est-ce tes seins pleut qu’homme laits en garde Porte A via sillon

Seul en Euro peu tune n’haies pas anti Crise t-y- âne isthme
L’heure hop et un le plume au der ne sait vous Pas peu pie dis
Hais-toi que laits feux naître aubes servent là on te t’heureux tiens
D’antre aidant une aigle lisait d’eux t’y con fesser ce mat teint
Tu lies lèpre os paix que tu ce laids cas t’as l’eau gueux lèse à fiches quiches hantent toux eau
Veau Allah peau hésite ce mat teint et pour la peau rose île lia les jours Renault
Iliade les livres vraies hontes à 25 senties me plait haine d’avant tue repos lisse hier
Porcs traits d’aigres en omet mit le titre d’hiver

Geai vu ce mat teint une geôle lyre eue don j’ai houx bœufs lier le nom
Neveu est pro preux du sceau lait yeux aile été le clef rond
Les dits recteurs laids houx vrillés ailés baies le se tait haine aux d’actes îlots gras feux
Du l’un dit mat teint os ça me dit seau art qu’âtre foi part joue rit pas ce
Le mat teint part Troie foi lasse si reine y geai mit
Laids uns scripts sillons des anses saignent haies des murs rails
Les plats que laids à vie Allah face sondée pères au quai crient ail
Geai meula grasse deux sept ruse un dû se trie elle
Si tué aPpât rit entre las rue hOmme honTe y est ville et l’aveu nu deTte Herne
Voilà l’âge eux ne ruent es-tu né en corps qu’un peu titan faon
Tas mer ne t’as bille queue de bleuet deux blancs
Tu hêtre épi eux et évêque le plus an scie un deux thés qu’amarre rade Renaît D’alizé
Vous nez mairie un tank eux laids ponts peu d’eux les gueux lisent
Île laine œuf heureux le gars est bée sait où bleu
Vous sort aide du dore taux hareng cas chez te
Vous prix hait toux te l’âne huis dent la chape hèle du col laid je
Temps dit qu’est terne elle est à d’or râble prof onde heure à mes tisse te
Tour n’âge a mêla flan bois y hante gueux loir du crisse te
Sel eux bol hisse queue tousse noue culte y vont
Sel le fil ce palais ver mai yeux deux la doux lourd eux se mer
Scelle arbre toux jours toux fut deux toux te l’est pris hier
Sel la double peau tance deux l’aune heure haie de l’éther nie thé
Sel est toi la scie branche
Cédille yeux qui meut heure le vent de redit erré suscite ledit manche

Cèle cris ce T qui mont haut scie elle mie œufs queue laits à vie à t’heures
Île dé tien l’heure corps dû mont de pour la haute heure

Pus pille Crisse ce te deux l’œil
Vint y aime pus pille des scies haies queues le île c’est y fer
Echange haie en noix os ce scie haie queue le qu’homme Jazz eus mont te dent l’ère
Laids dix A bleu dans laids habits meulaient veux l’athée te pour l’heure gars dés
Îles dix qu’il lime mythe Scie mont ma agent jus dés
Île crisse île c’est veau lait cons lapent elle vole heure
Laits ans je vole tige haute tour du geôle y vole tige heure
Icare Enoch Elie Apollonius de Thyane
Flots te haut tour dû preux mie est A héros plat ne
Île c’est carte part foi pour lait sait pas c’est ce queue transe porte la Ceinte eux car ris ce t’y
Ceps reîtres  qui mont éther nez le ment elle vent l’os t’y
Lave ions se pots an faim sang refaire mêler zèle
Le si elle sang plie à l’horde mi lions dire onde elles
Attire d’elle vie haine les corps beaux les faux cons les I bouts
D’Affre Icare rives les I bis les flammes ans les mares à boues
Lois aurochs sel lait brait parlait compte heures ailé peaux haies te
Plat ne te n’en dent laisse erre le queue rat nœud a dents la preux mie hier tais te
Laid gueux le fond de l’eau riz on en poux cent un gueux rang queue rit
Aida mer rit que vie un le peu tique eau lit brie
Deux chinent son vœux nu l’épi hisse l’onze haie sous peu le
Qui n’oncques une ce l’haie le équivaut le part cou peu le
Puits voix ci lac eau l’on baisse prix y mal cul est
Caisse cor te l’oie zoo lire aile pas on osselet
Le fée nie que ce but chez qui sot à m’aime sans gendre
Un nain se tend voix-le toux deux son art dente cent d’heureux
Les six reines lait sent l’épée ri yeux dé trois
Art rives en champ tant baie le ment toux te trois
Haie tousse haie gueux le fée nie que ce épi hisse deux la chinent
Feu rats ternies ave queue lave haut lente ma Chine

Main tenant tue m’arche dent Pas ri tousse eux le part mi là fou houle
Des trous peaux d’haut tôt bus mue gît sang pré deux toits roue houle
Langue oie ce deux l’âme mourre heureux te sert le gueux osier
Qu’homme scie tue nœud eux vais-je à mai plus hêtre très mai
Situe vive aidant l’an scie un tant tu entre raie dents hein mot nasse terre
Vous ave on te qu’en vous voussure preux né à dire rune prie hier
Tue te mot queue deux toits et qu’homme l’œuf feu d’eux lent fer t’ont rire pète île yeux
L’aise étain celle deux thons rirent d’or le font deux tas vie
Sept un table haut pend dû danse un son beur eux muse haie
Hait qu’elle queues foi tue val regard haie deux prés

Haut jour du huis tue m’arche dans Pas ri l’elfe hameçon temps sans gland est
Sait tait aie-je vous draine pâmant saoul venir
Sait tait tôt dé clin d’eux la bottée

An tour raide feux l’âme fer vente Note heureux D’âme mare gare dé à Char te heureux
Le sang de veau te heureux Ça crée Qu’heure m’a y nom dé âMe on martre
Jeu su huis mal à deux doux ire laids pas rôle bi un heureuses
L’âme mourre don jeu sous feu heureux hait tune mâle à dit on t’eux se
Elime âge quitte peau cède te fée sur vie ivre dent l’un somme nie aidant langue oie ce
Ces toux jours pré deux toits sept I mages kippa ce

Main tenant tu hais zoo aube hors d’eux l’âMe est dite erre à nez
Saoulé six trop niés qui sons tant feux leur toux te l’âne née
Ave queue thèse à mi tue te preux homme haine en bar queue
L’un henNit sar île lia un Manteau nasse queue aide eux Tue hure bi as queues
Nous regard dons ave qu’est froid l’époux le peu dès profonde heure
Epars mille haies halles le gueux n’a âge les poix sons I mages du saut vœux heure

Tué d’en le jar d’un dune aube berge ose an vire rond deux Peu rague
Tue te sang toute heure eux hune rosée sure la tas bleue
Hais-tu aube cerveau lit eux d’haie cris ire thon content peau rose
Lassé toi ne quid hors dent le queue heure deux l’arrose

Et poux venté tue te veau as des cinés d’en l’aise à gâte deux Seins Vite
Tué t’es trie ce te amour rire le joue roux tue TV
Tue hure sang bleu eau Las art à fol épars le joue heureux
Laits aigues y yeux deux l’or logent du quart y est jus if vont arrhes bourgs
Hais-tu heureux culot scie dent tas vie lente ment
An mont tantôt Haras de Chine aile soie rang né cou temps
Dent lait tas vernes champ t’est dé chants sons te chez queues

Te voix scia Mars c’est yeux eau mille lieu dé passes thé queues

Te voie scia Queue aube lance à l’haute elle du Geai an

Te vois scie aRrhe homme as six sous  un né feu lié du Jappe on

Te voix scia Âme se terre dame avec hune jeu nœud fil yeux queue tu troues vœux baie laid qui hait laid eux
Aile doigt ce mare y est avec hein nez tu dis en d’eux Laide
On nie loup dèche ambre en las teint Cubique cul à l’eau quand a

Je mens saoul viens gît hait pas c’est Troie jours haies haut temps à Goût d’A

Tués à Pas riche aile jus jeu d’un ce truc sillon
Commun crie mine elle long te mettant né tas d’art est-ce ta scions

Tuas fée d’eux doux lourd eux haies d’eux joie yeux voies y âges
A vent deux tas perd ce voir dûment songe haie deux la jeu
Tuas sous fer d’eux l’âme mourra vint haie à te rend temps
J’ai Eve écu qu’homme main fouet perd dus monts tant

Tune os eux plurent gars dé t’aime un haie atout mot ment jeu vous dresse sang lot est
Sur toit sur sel queue j’aie me sur tousse quitta époux vanté
Tu hure gardes laids I eux peu lin de l’arme ces peaux vœux heureux émis grands
Îles crocs a en dix yeux îles prix lait fa me halètent dés ans faons
Îles ans plissent d’eux l’heure eau d’heure le haut le de l’hagard Seins Las art
Îles on faux Adam leurrée toile qu’homme meule héros âme âge
Îles haies se perd gars nier d’eux l’arrhe gent dent l’are gentil nœud
Et heureux venir dans l’heure paix y a pré à voir fée fort tune
Eue nœud femme i yeux transe porte un aide d’heureux don roux jeu qu’homme vous transe portez veau autre queue heure.
Sept haies d’heureux dons haine or Eve son tôt si raie elle
Qu’ailes queues un deux ces émis grands raient se tisse y est seul au jeu
Rude haie Rose y est ou rude haies Et cous feux dent dé bouts jeu
Jeux lésés vus sous vent le sceau are îles pré nœud l’ère dent l’arrhe eu
Haie ce dé placera art ment qu’homme laies pieds ceux osés chèques
Île lia sur tout dé jus ifs l’heure fa me porte père rue queue
Ailes leurres est-ce tas six hais queues sang eau fondée bouts tiques

Tué deux bouts deux vents le cinq d’un bas heure queue rat pue le
Tu preux en un qu’a fait à dessous part mille est mal heure eux

Tué las nu y dents hein gueux rand reste au rang

Ses fa me nœuds son pâme mais chantent ailes on dé sous ci ceux pendant
Toux te m’aime la peu lue l’aide a fée sous frire sonna ment

Aile lait la fil yeux d’un cerf gens d’eux vil de J’ai herse sait

Sème un queue jeu navet pas vues sondent hures haies j’erre sait

Geai hune pie t’y est y ment ce poux relais cous t’eurent deux son vent heureux

J’hume y lie mains tenant à hune peau vœux heureux fil yeux or ire or riz bleu ma bouche

Tue esseules eux mat teint va vœux nie ire
Lait lait y est fonte un thé l’heure bide ont dents l’air eu

L’âne huis c’est l’oie ni un scie cul nœud bée elle mai t’y vœux
Sait Faire dîne l’a faux sous Laie Allah tante ivre

Hais tu boa sept à le col bru lent qu’homme tas vie
Tas vie queue tue boa qu’homme hune ode vies

Tue m’arche verre rÔt œil tue vœux allécher toit à pie haie
D’or mire part mythe et fête ich d’Os et âne y est de gui né
Îles sons des Cris ce te dune haute heureux faux orme haie d’hune haute heureux croie y anse
Ceux sons les Cris ce teint faits rieurs des aubes se curent est-ce paix rance

A d’yeux A d’yeux

Sole haie yeux cou coupe est

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